Quel espoir en étant OPK et tératospermie?

Bonjour à toutes,
Je me présente, j’ai 25 ans, mon mari en a 28. Nous sommes en couple depuis 6ans et marié depuis 1an et demi. Le mariage passé, nous avons voulu concrétiser notre envie de devenir parents. Donc nous voilà lancé dans les essais bébé 1 depuis novembre 2015.
Depuis le début, j’ai des cycles long (qui atteignent facilement les 60 jours) donc je me suis dit qu’il valait mieux me diriger vers un gynécologue. En octobre 2016, je vais voir cette gynéco pourtant spécialisé en fertilité me fait monter sur une balance et me dit que mon problème est clairement mon poids (80kg pour 1.61m) et me dit qu’elle ne fera rien tant que je n’aurai pas perdu 10kg. Aucun examen de plus.
Désespéré de n’avoir que cela comme réponse, je vais consulter un autre gynéco. Je lui explique mon problème, il me fais un examen que je n’ai jamais eu : une échographie. Et là, il me dit que je suis atteinte du syndrome des ovaires polykystique. Il me prescrit donc un bilan hormonal et un spermogramme pour mon mari car pour lui, ça ne sert à rien de trainer.
Nous souffrons en silence de cette situation car personne n’est au courant de ce projet. Mon mari pensait que tout allait rouler et que nous serions aussi parents à l’heure qu’il est. Je me sens nul de ne pas pouvoir donner cette joie à mon mari. En un an, j’ai l’impression que toutes mes copines sont tombé enceinte et même certaines sent le faire exprès.
Nous voulons avancer , alors mon mari passe son spermogramme et moa dans la foulée mon bilan hormonal. Hier nous avons reçu ses résultats et là un coup de massue sur la tête : il est diagnostiqué « tératospermie extrème » avec seulement 4% de spermatozoïdes typique.
Nous sommes vraiment effondré car on ne s’attendait pas à ça 😥

Maintenant nous devons attendre le rendez-vous avec le gynéco qui a lieu dans 10jours.
J’imagine que nous allons devoir passer par la PMA.

Je cherche des témoignages de personnes dans le même cas que nous. NOus pouvons nous suivre, sa pourrait nous encourager.

Merci d’avoir eu le courage de me lire. /a2/